Le mal logement est un sujet d’actualité et les moyens employés actuellement pour y remédier n’y répondent pas de façon satisfaisante.
Mon exemple personnel:
En 1973, contremaitre dans une fonderie, j’ai fait construire une grosse maison, en briques isothermes, et j’ai passé mes hivers à abattre des arbres, les débiter,afin de confectionner les 60 stères permettant son chauffage.
Pris dans le feu de la vie courante, j’ai estimé ça normal et ça me procurait une activité physique et une aération de l’esprit.
J’ai poursuivi ensuite une carrière de constructeur de machines spéciales, répondant aux besoins de l’industrie, afin d’améliorer les conditions de travail et la productivité.
Arrivé à la retraite, j’ai constaté qu’il faisait froid dans une maison soi-disant bien isolée.
Je me suis rendu compte des défauts de la construction actuelle et j’ai cherché à y remédier.
J’ai donc établi, comme on le fait dans l’industrie, un cahier des charges, listant tous les besoins à satisfaire ainsi que les problèmes à solutionner.
Un exemple:
800 morts par an dans les incendies est un sujet suffisamment grave pour qu’une réponse sérieuse y soit apportée.
L’installation de détecteurs de fumée n’est pas une réponse sérieuse. leur mise en service n’est pas contrôlée et pénalise les fumeurs et les utilisateurs de planchas.
Alors que dans les halls de stockage et les grandes surfaces, des têtes d’extinction stoppent efficacement tout départ de feu, cette technique est ignorée par les instances du bâtiment, préférant installer des portes coupe-feu et des produits difficilement combustibles.
J’ai une solution concernant l’habitat particulier aussi bien que collectif, applicable aussi bien en neuf qu’en rénovation.
Autre exemple:
300 défenestrations dont principalement des enfants doivent être pris en compte.
Des milliers de doigts pincés et de collisions dans les portes et fenêtres encombrent les services d’urgence des hôpitaux.
80 morts sur chutes dans les escaliers n’empêchent pas les constructeurs à continuer d’en installer, alors qu’ils deviennent inaccessibles avec l’âge.
J’apporte une solution sûre, sérieuse et bon marché à ces problématiques ainsi qu’à bien d’autres, tout aussi nécessaires pour le bien-être des habitants.
La construction utilisant le béton a permis de construire plus rapidement des habitations. La vibration du béton, afin de chasser l’air et d’obtenir des parois lisses, a diminué considérablement leur résistance thermique, accentuant les ponts thermiques tout en favorisant le transfert d’humidité. Cette humidité, faisant pourrir le plâtre à l’intérieur des habitats, a nécessité l’installation d’une VMC, qui n’a de contrôlé que le nom.
Alors que jadis, les pièces principales des habitations étaient équipées de bouches d’aération situées, en position basse, évacuant naturellement les gaz nocifs tels que le CO2 ou le radon, plus lourds que l’air, les VMC, installées en haut des pièces, pompent l’air le plus humide, donc le plus chaud, dédaignant les gaz nocifs, dans lesquels pataugent les gamins.
Pire, elles introduisent, par temps de pluie, un air froid, chargé d’humidité, accentuant l’effet contre lequel elles devraient lutter. L’installation de VMC hygro-réglables, nécessitant l’installation sur les fenêtres de dispositifs freinant le passage de l’humidité, ont diminué le taux d’humidité tout en réduisant leur efficacité.
Un autre problème est apparu, le taux de formaldéhyde est devenu dangereux pour la santé des habitants.
La création des VMC double flux est censée pallier à ces inconvénients mais elles ne sont efficaces que si les portes et fenêtres sont fermées, créant une dépression nuisible au moral et à la santé des habitants.
Je propose donc un autre mode constructif respectueux de la nature et utilisant les bienfaits qu’elle nous donne.
Le béton n’est pas la solution, les isolants thermiques actuels non plus, ce qui fait que pour pouvoir montrer qu’une autre voie est possible, la construction d’une maison témoin est nécessaire, non pas avec les banques qui obligent à utiliser des techniques et des produits reconnus par les instances du Bâtiment, mais par une campagne publicitaire de grande envergure, sensibilisant tout le monde car les solutions apportées ne concernent pas que le neuf, mais tous les habitats actuels.
SI JEUNESSE SAVAIT, SI VIEILLESSE POUVAIT.
Mon exemple personnel:
En 1973, contremaitre dans une fonderie, j’ai fait construire une grosse maison, en briques isothermes, et j’ai passé mes hivers à abattre des arbres, les débiter,afin de confectionner les 60 stères permettant son chauffage.
Pris dans le feu de la vie courante, j’ai estimé ça normal et ça me procurait une activité physique et une aération de l’esprit.
J’ai poursuivi ensuite une carrière de constructeur de machines spéciales, répondant aux besoins de l’industrie, afin d’améliorer les conditions de travail et la productivité.
Arrivé à la retraite, j’ai constaté qu’il faisait froid dans une maison soi-disant bien isolée.
Je me suis rendu compte des défauts de la construction actuelle et j’ai cherché à y remédier.
J’ai donc établi, comme on le fait dans l’industrie, un cahier des charges, listant tous les besoins à satisfaire ainsi que les problèmes à solutionner.
Un exemple:
800 morts par an dans les incendies est un sujet suffisamment grave pour qu’une réponse sérieuse y soit apportée.
L’installation de détecteurs de fumée n’est pas une réponse sérieuse. leur mise en service n’est pas contrôlée et pénalise les fumeurs et les utilisateurs de planchas.
Alors que dans les halls de stockage et les grandes surfaces, des têtes d’extinction stoppent efficacement tout départ de feu, cette technique est ignorée par les instances du bâtiment, préférant installer des portes coupe-feu et des produits difficilement combustibles.
J’ai une solution concernant l’habitat particulier aussi bien que collectif, applicable aussi bien en neuf qu’en rénovation.
Autre exemple:
300 défenestrations dont principalement des enfants doivent être pris en compte.
Des milliers de doigts pincés et de collisions dans les portes et fenêtres encombrent les services d’urgence des hôpitaux.
80 morts sur chutes dans les escaliers n’empêchent pas les constructeurs à continuer d’en installer, alors qu’ils deviennent inaccessibles avec l’âge.
J’apporte une solution sûre, sérieuse et bon marché à ces problématiques ainsi qu’à bien d’autres, tout aussi nécessaires pour le bien-être des habitants.
La construction utilisant le béton a permis de construire plus rapidement des habitations. La vibration du béton, afin de chasser l’air et d’obtenir des parois lisses, a diminué considérablement leur résistance thermique, accentuant les ponts thermiques tout en favorisant le transfert d’humidité. Cette humidité, faisant pourrir le plâtre à l’intérieur des habitats, a nécessité l’installation d’une VMC, qui n’a de contrôlé que le nom.
Alors que jadis, les pièces principales des habitations étaient équipées de bouches d’aération situées, en position basse, évacuant naturellement les gaz nocifs tels que le CO2 ou le radon, plus lourds que l’air, les VMC, installées en haut des pièces, pompent l’air le plus humide, donc le plus chaud, dédaignant les gaz nocifs, dans lesquels pataugent les gamins.
Pire, elles introduisent, par temps de pluie, un air froid, chargé d’humidité, accentuant l’effet contre lequel elles devraient lutter. L’installation de VMC hygro-réglables, nécessitant l’installation sur les fenêtres de dispositifs freinant le passage de l’humidité, ont diminué le taux d’humidité tout en réduisant leur efficacité.
Un autre problème est apparu, le taux de formaldéhyde est devenu dangereux pour la santé des habitants.
La création des VMC double flux est censée pallier à ces inconvénients mais elles ne sont efficaces que si les portes et fenêtres sont fermées, créant une dépression nuisible au moral et à la santé des habitants.
Je propose donc un autre mode constructif respectueux de la nature et utilisant les bienfaits qu’elle nous donne.
Le béton n’est pas la solution, les isolants thermiques actuels non plus, ce qui fait que pour pouvoir montrer qu’une autre voie est possible, la construction d’une maison témoin est nécessaire, non pas avec les banques qui obligent à utiliser des techniques et des produits reconnus par les instances du Bâtiment, mais par une campagne publicitaire de grande envergure, sensibilisant tout le monde car les solutions apportées ne concernent pas que le neuf, mais tous les habitats actuels.
SI JEUNESSE SAVAIT, SI VIEILLESSE POUVAIT.