Bonjour.
En 2005, après m’être rendu compte qu’une maison, 8000 fois plus simple à fabriquer qu’une automobile, était vendue 10 fois plus cher, j’ai déposé le brevet d’une maison, respectueuse de la santé et du confort des occupants, en utilisant des techniques et des matériaux adaptés aux besoins.
Je me suis associé avec Patrick BOURDONCLE, métallier à FIRMI, 12, avec lequel une maison prototype a été construite, démontrant l’efficacité des techniques employées afin de la rendre :
- Insensible aux mouvements de sol ;
- Insensible aux changements climatiques ;
- Capable de recueillir les bienfaits du soleil, afin d’assurer le bien-être intérieur.
Construite sur la base d’une ossature métallique, faite de profilés en profils à froid, sans peinture ni traitement thermique, soudés de manière à constituer une carcasse indéformable et protégée de l’humidité, de la chaleur et du froid par un revêtement isolant mince réfléchissant.
Les murs, habillés d’un bardage extérieur et d’un revêtement placo à l’intérieur :
- Empêchent la pénétration de l’humidité dans l’habitat ;
- Rejettent les calories et les frigories provenant de l’extérieur ;
- Permettent, à moindre cout, de maintenir une température agréable.
Des ingénieurs thermiciens de l’ICAM de TOULOUSE, ont confirmé l’efficacité de ce concept.
Malheureusement la production industrielle de ce type d’habitat a échoué.
C’est la façon de concevoir l’ossature métallique qui est, à mon avis, la principale cause de cet échec.
Je me suis rendu compte en effet, lors de la fabrication du prototype, que le sciage, à la scie à ruban, ainsi que l’aboutage des profilés, afin de mettre à dimension les éléments constitutifs, prenait beaucoup de temps et produisait énormément de chutes. L’assemblage de ces éléments est une autre cause de perte de temps. En effet, 2 heures étaient nécessaires à l’assemblage par soudage des profilés nécessaires à la constitution d’un mur de 10 mètres, alors que, sur un banc automatisé, 10 minutes suffisent pour, non seulement assembler, mais y ajouter :
- La pose des huisseries ;
- La pose des films isolants réfléchissants ;
- La pose des revêtements extérieurs et intérieurs ;
- La domotique et d’autres fonctionnalités utiles.
Fort de ce constat, j’ai décidé de breveter un procédé constructif constitué d’un seul profil, afin de concevoir l’ossature métallique. Ce sera un feuillard de 115mm de largeur et 3mm d’épaisseur. Toutes les opérations de mise à longueur, d’usinage, de pliage et d’assemblage, seront comptabilisées en secondes alors qu’elles nécessitaient des minutes en utilisant des profilés tubulaires, sans produire de chutes. Ce feuillard, livré en bandes de grandes longueurs, sera abouté en quelques secondes, par soudage, puis mis à longueur par cisaillage.
Je recherche :
- Un ou des métalliers, séduis par ce concept, disposés à prendre une licence de fabrication ;
- Un ou des financiers capables d’assister les métalliers dans leur prise de licence et dans l’automatisation de leurs moyens de production d’une part, et d’aider les clients à financer leur achat sans autre apport que celui d’un terrain et d’un permis de construire, au moyen de mensualités, comme pratiqué dans l’automobile.
Un minimum de 100 maisons (1 par département) est nécessaire afin de lancer la fabrication des bancs de construction.
Willy FURTER
19 avenue GUYNEMER
81600 GAILLAC
0695523072
willyfurter@sfr.fr
En 2005, après m’être rendu compte qu’une maison, 8000 fois plus simple à fabriquer qu’une automobile, était vendue 10 fois plus cher, j’ai déposé le brevet d’une maison, respectueuse de la santé et du confort des occupants, en utilisant des techniques et des matériaux adaptés aux besoins.
Je me suis associé avec Patrick BOURDONCLE, métallier à FIRMI, 12, avec lequel une maison prototype a été construite, démontrant l’efficacité des techniques employées afin de la rendre :
- Insensible aux mouvements de sol ;
- Insensible aux changements climatiques ;
- Capable de recueillir les bienfaits du soleil, afin d’assurer le bien-être intérieur.
Construite sur la base d’une ossature métallique, faite de profilés en profils à froid, sans peinture ni traitement thermique, soudés de manière à constituer une carcasse indéformable et protégée de l’humidité, de la chaleur et du froid par un revêtement isolant mince réfléchissant.
Les murs, habillés d’un bardage extérieur et d’un revêtement placo à l’intérieur :
- Empêchent la pénétration de l’humidité dans l’habitat ;
- Rejettent les calories et les frigories provenant de l’extérieur ;
- Permettent, à moindre cout, de maintenir une température agréable.
Des ingénieurs thermiciens de l’ICAM de TOULOUSE, ont confirmé l’efficacité de ce concept.
Malheureusement la production industrielle de ce type d’habitat a échoué.
C’est la façon de concevoir l’ossature métallique qui est, à mon avis, la principale cause de cet échec.
Je me suis rendu compte en effet, lors de la fabrication du prototype, que le sciage, à la scie à ruban, ainsi que l’aboutage des profilés, afin de mettre à dimension les éléments constitutifs, prenait beaucoup de temps et produisait énormément de chutes. L’assemblage de ces éléments est une autre cause de perte de temps. En effet, 2 heures étaient nécessaires à l’assemblage par soudage des profilés nécessaires à la constitution d’un mur de 10 mètres, alors que, sur un banc automatisé, 10 minutes suffisent pour, non seulement assembler, mais y ajouter :
- La pose des huisseries ;
- La pose des films isolants réfléchissants ;
- La pose des revêtements extérieurs et intérieurs ;
- La domotique et d’autres fonctionnalités utiles.
Fort de ce constat, j’ai décidé de breveter un procédé constructif constitué d’un seul profil, afin de concevoir l’ossature métallique. Ce sera un feuillard de 115mm de largeur et 3mm d’épaisseur. Toutes les opérations de mise à longueur, d’usinage, de pliage et d’assemblage, seront comptabilisées en secondes alors qu’elles nécessitaient des minutes en utilisant des profilés tubulaires, sans produire de chutes. Ce feuillard, livré en bandes de grandes longueurs, sera abouté en quelques secondes, par soudage, puis mis à longueur par cisaillage.
Je recherche :
- Un ou des métalliers, séduis par ce concept, disposés à prendre une licence de fabrication ;
- Un ou des financiers capables d’assister les métalliers dans leur prise de licence et dans l’automatisation de leurs moyens de production d’une part, et d’aider les clients à financer leur achat sans autre apport que celui d’un terrain et d’un permis de construire, au moyen de mensualités, comme pratiqué dans l’automobile.
Un minimum de 100 maisons (1 par département) est nécessaire afin de lancer la fabrication des bancs de construction.
Willy FURTER
19 avenue GUYNEMER
81600 GAILLAC
0695523072
willyfurter@sfr.fr